Dernier article Retour vers Martial Raysse
Suite à mon incursion brutale dans l’univers de Martial Raysse, lors de ma dernière visite au Cen... Lire la suite
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Suite à mon incursion brutale dans l’univers de Martial Raysse, lors de ma dernière visite au Centre Pompidou, j’ai retrouvé Pascale Guiony (de-ci de l’art) une semaine plus tard pour mieux comprendre cet artiste. Sa vie, son œuvre, toujours un temps d’avance… même si pour la désillusion finale, on peut souhaiter de tout cœur qu’il se trompe ! Un artiste complet que j’ai découvert, et aimé…
Grand écart est le mot! Passer des tirages photographiques d'époque de Cartier-Bresson, intimistes, à l'explosion de couleur (et de son) de Martial Raysse fût un choc. Le hasard a produit cette rencontre. J'adore le photographe, mais tout ce public agglutiné devant ces tirages argentiques était de trop...J'aurai aimé n'en voir que quelques unes, en prenant mon temps, et me replonger à son époque l'espace d'un silence. L'exposition d'à côté était presque déserte, avec ses néons de "maison close" qui me faisaient de l’œil... Bien m'en a pris de franchir cette porte, en tout bien tout honneur! Le clinquant des œuvres de Martial Raysse m'a apporté cette intimité qui m'avait tant fait défaut auparavant...
Londres la verte, titre non usurpé. Elle remplie ses squares et parcs dès l'apparition des premiers rayons de soleil. Le mélange est apparent, pour qui dispose de la clé du square, ou bien suffisamment bien né pour se fondre dans la bonne société à l'heure du pique-nique...mais chacun trouve sa place...